Immobiles, immuables, et vivantes.
Comme des accents donnant la tonalité aux mots, elles ponctuent les abords de Marseille, la côte encore sauvage, pour que mer et terre apprennent à se connaitre, à s’apprécier.
Les vents, la pluie, le soleil, les nuages, les habillent de leur costume d’un moment, ombres et lumière, entre drame, volupté, toujours respectueux de leur forte personnalité.
Elles se veulent aimées.
Elles apprécient les efforts de leurs admirateurs.